On pourra peut-être me reprocher de laisser à Arnys plus de place sur mon blog qu’il n’en tient dans la mode parisienne. Qu’on m’enjoigne d’en faire plus encore ou vraiment moins, que…
Schlass. Le mot, déjà, siffle aux oreille. Savoureusement argotique, il sonne juste. Rien qu’à le regarder, on s’encanaille un peu, comme un gamin à l’œil brillant. Le temps de l’ouvrir, on quitte…